| Titre de série : |
Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques |
| Titre : |
Analyse de la dynamique d’occupation du sol à travers une classification d’images Landsat (1990-2007-2017) du bassin Mouhoun Supérieur au BURKINA FASO. |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Soumahila SANKANDE |
| Année de publication : |
2018 |
| Importance : |
60 p. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
La structure spatiale de l'utilisation des terres du Burkina Faso a été fortement impactée par l’accroissement de la population, le changement climatique et la « mondialisation » au cours des
dernières décennies. Cela se traduit par de profonds changements dans l’occupation des terres et une modification notable de la végétation naturelle. Cette étude menée sur le bassin Mouhoun supérieur situé au Burkina Faso entre les latitudes 10°43’N et 14°23’N et les longitudes 02°10’W et 05°27’W vise à évaluer la dynamique d’occupation du sol à partir d’une analyse diachronique des types d’occupation du sol. Elle se base sur l’exploitation des données d’images de Landsat d’octobre 1990 (capteur TM) ; octobre 2007 (capteur ETM+) et octobre 2017 (capteur OLI). Une approche méthodologique basée sur la classification supervisée maximum de vraisemblance a conduit à l’identification des différentes classes d’occupation des sols. Les résultats obtenus indiquent que les classes d’occupation du sol en 1990 se compose comme suit : forets (77%), savanes (9%), cultures (3%), sols nus (8%) et eau (4%). En 2007, l’occupation du sol se compose de forêts (30%), savanes (51%), cultures (9%), sols nus (5%) et eau (4%). En 2017, les types d’occupation du sol se répartissent en forets (18.20), savanes (36%) cultures (40%) sols nus (7%) et eau (1%). De l’analyse de ses différentes valeurs, cette situation indique que la structure forestière est profondément et durablement affectée.
Abstract : The spatial pattern of land use in Burkina Faso has been strongly impacted by population growth, climate change and "globalization" in recent decades. This induces into profound changes in land use and a noticeable change in natural vegetation. This study conducted in the Upper Mouhoun Basin located in Burkina Faso between latitudes 10 ° 43'N and 14 ° 23'N and longitudes 02 ° 10'W and 05 ° 27'W aims to evaluate the dynamics of land use. from a diachronic analysis of the types of land occupation. It is based on the exploitation of Landsat image data from October 1990 (TM sensor); October 2007 (ETM + sensor) and October 2017 (OLI sensor). A methodology approach based on maximum likelihood supervised classification led to the identification of the different classes of land use. The distribution of land use classes in 1990 is divided into forests (77%), savannas (9%), crops (3%), bare soil (8%) and water (4%). In 2007, the land cover consists of forests (30%), savannas (51%), crops (9%), bare soil (5%) and water (4%). In 2017 the types of land cover are divided into forests (18), savannas (36%) crops (40%) bare soil (7%) and water (1%). From the analysis of its different values, this situation indicates that the forest structure is deeply and permanently affected
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Mémoire FPL Master d’ingénierie Infrastructures et Réseaux Hydrauliques. Analyse de la dynamique d’occupation du sol à travers une classification d’images Landsat (1990-2007-2017) du bassin Mouhoun Supérieur au BURKINA FASO. [texte imprimé] / Soumahila SANKANDE . - 2018 . - 60 p. Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
La structure spatiale de l'utilisation des terres du Burkina Faso a été fortement impactée par l’accroissement de la population, le changement climatique et la « mondialisation » au cours des
dernières décennies. Cela se traduit par de profonds changements dans l’occupation des terres et une modification notable de la végétation naturelle. Cette étude menée sur le bassin Mouhoun supérieur situé au Burkina Faso entre les latitudes 10°43’N et 14°23’N et les longitudes 02°10’W et 05°27’W vise à évaluer la dynamique d’occupation du sol à partir d’une analyse diachronique des types d’occupation du sol. Elle se base sur l’exploitation des données d’images de Landsat d’octobre 1990 (capteur TM) ; octobre 2007 (capteur ETM+) et octobre 2017 (capteur OLI). Une approche méthodologique basée sur la classification supervisée maximum de vraisemblance a conduit à l’identification des différentes classes d’occupation des sols. Les résultats obtenus indiquent que les classes d’occupation du sol en 1990 se compose comme suit : forets (77%), savanes (9%), cultures (3%), sols nus (8%) et eau (4%). En 2007, l’occupation du sol se compose de forêts (30%), savanes (51%), cultures (9%), sols nus (5%) et eau (4%). En 2017, les types d’occupation du sol se répartissent en forets (18.20), savanes (36%) cultures (40%) sols nus (7%) et eau (1%). De l’analyse de ses différentes valeurs, cette situation indique que la structure forestière est profondément et durablement affectée.
Abstract : The spatial pattern of land use in Burkina Faso has been strongly impacted by population growth, climate change and "globalization" in recent decades. This induces into profound changes in land use and a noticeable change in natural vegetation. This study conducted in the Upper Mouhoun Basin located in Burkina Faso between latitudes 10 ° 43'N and 14 ° 23'N and longitudes 02 ° 10'W and 05 ° 27'W aims to evaluate the dynamics of land use. from a diachronic analysis of the types of land occupation. It is based on the exploitation of Landsat image data from October 1990 (TM sensor); October 2007 (ETM + sensor) and October 2017 (OLI sensor). A methodology approach based on maximum likelihood supervised classification led to the identification of the different classes of land use. The distribution of land use classes in 1990 is divided into forests (77%), savannas (9%), crops (3%), bare soil (8%) and water (4%). In 2007, the land cover consists of forests (30%), savannas (51%), crops (9%), bare soil (5%) and water (4%). In 2017 the types of land cover are divided into forests (18), savannas (36%) crops (40%) bare soil (7%) and water (1%). From the analysis of its different values, this situation indicates that the forest structure is deeply and permanently affected
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